Notre histoire
"Notre mission depuis le premier jour est de proposer des solutions créatives & pratiques pour simplifier votre quotidien ! "
“Les Moushou sont faits à la main, et permettent de libérer les siennes, c’est une jolie figure de style non ? ”
"Moushou c’est l’homonyme de « bisous » en basque. C’est l’accessoire culotté et ensoleillé des audacieux et des rêveurs "
Notre histoire
Créée en 2020 par Salomé, Moushou est une marque d'accessoires pour téléphone en perles. Les Moushou sont fabriquées avec un impact social positif sur la côte basque.
L’idée est simple : faire rimer créativité et fonctionnalité sans négliger la durabilité du produit.
On vous raconte
Après un cursus commercial, Salomé, en manque d’iode marine, décide de quitter la maison d’édition dans laquelle elle travaille à Paris pour se rapprocher de son pays basque natal.
Les quelques années entre Bordeaux et Paris réveillent en elle le besoin d’un objet fonctionnel et résistant pour ses explorations urbaines. Un accessoire répondant aux contraintes du quotidien. Un indispensable pour ceux ou celles qui perdent sans cesse leur téléphone, jonglent de coups de fil en coup de fil, se baladent à vélo et dansent jusqu'au bout de la nuit !
Salomé s’installe à Biarritz, les pieds dans le sable avec ses valises pleines de perles et d’idées et se lance dans la création . C’est un retour aux sources inspirant : en moins de vingt-quatre heures les premiers prototypes Moushou naissent.
Le nombre de Moushou girls augmente et l’enfilage de perles bat son plein ! Sans même s’en rendre compte une vraie petite entreprise commence à prendre forme et les premières questions notamment sur la capacité de production voient le jour.
La rencontre et l’association avec un Esat ( établissement réservé aux personnes en situation de handicap et visant leur insertion professionnelle) permettra une production plus importante de Moushou et lance réellement Salomé dans la grande aventure de l’entrepreneuriat.
« Entreprendre n'était pas prévu. Je n’avais jamais eu l’intention de faire de Moushou mon métier. Je faisais juste ce que j’aimais faire ! ”